Grippe aviaire, une bonne fois pour toute !

[dayamel]

document d'information adressé par l'ordre aux Vetérianires, d'apres le rapport de l'AFSSA

L’influenza aviaire et ses implications
en matière de santé humaine
et celle des animaux de compagnie

Document pour répondre aux questions des maîtres de chiens et de chats
le 1er mars 2006


Rappel
1 – Il n’y a pas de cas confirmé de virus H5N1 transmis d’homme à homme. Les seuls cas humains au niveau mondial ont été causés par des contacts extrêmement étroits avec des volailles infectées : des hommes vivant avec leur volaille dans de mauvaises conditions d’hygiène et directement exposés à leurs excréments ou des hommes manipulant de la volaille au moment de l’abattage.

2 – L’OMS précise également que la barrière des espèces est importante : le virus ne se transmet pas aisément des oiseaux pour infecter des humains. Malgré une infection qui a touché des dizaines de millions de volailles sur une zone géographique large pendant plus de 2 ans, moins de 200 cas humains de la grippe aviaire ont été confirmés.

En ce qui concerne les animaux de compagnie
1 – Des chercheurs hollandais ont découvert que, dans des conditions de laboratoire extrêmes , les chats peuvent recevoir le virus H5N1 de l’influenza aviaire. Cette étude a montré que les chats pouvaient contracter le virus quand l’agent pathogène est introduit artificiellement dans leur voie respiratoire ou en mangeant des oiseaux infectés. Dans des conditions normales, les chats ou les chiens ne portent pas le virus et aucun cas n’a été enregistré à l’exception de cas en Thaïlande pour des animaux de zoo (tigres nourris avec des morceaux de viande infectés) et à l’exception de deux chats exposés directement à une très haute concentration de virus.

2 – En Allemagne le cas récemment découvert d’un chat mort infecté par le virus de l’influenza aviaire H5N1 a eu pour cadre l’île particulièrement infectée de Rügen et a porté sur un chat errant contaminé en mangeant des oiseaux infectés par le virus. Sur cette île, depuis mi-février, plus de 100 oiseaux sont morts et des tests ont confirmé l’infection de plusieurs de ces oiseaux par le virus H5N1. Jusqu’à de plus amples clarifications de ce cas isolé et conformément à la décision des autorités allemandes, les chats vivant chez leurs maîtres dans les zones infectées doivent être gardés à la maison de façon à éviter tout contact avec des oiseaux sauvages infectés. Des mesures identiques devraient être mises en œuvre dans les autres zones infectées par l’influenza aviaire. Par mesure d’extrême précaution, les propriétaires d’animaux de compagnie devraient être encouragés à ne pas laisser leur animal circuler librement dans ces zones infectées. En France, à ce jour, seul l’Ain est concerné.

3 – Les propriétaires de chat doivent être rassurés puisque, alors même que l’influenza aviaire était très largement répandue dans le sud est asiatique depuis plus de deux ans et malgré les contacts locaux très étroits entre l’homme et les volailles, les chats n’ont joué aucun rôle épidémiologique dans la propagation de l’infection. Cette information est confirmée par les recherches de la FAO sur le site :
://.fao.org/ag/againfo/subjects/en/health/diseases-cards/avianl

4 – Aucune infection au virus H5N1 n’a été observée chez le chien.

5 – Des scientifiques, comme Paul Hunter, professeur de protection de la santé à l’Université de l’East Anglia au Royaume-Uni, indiquent en se fondant sur leurs expériences de l’influenza aviaire au cours des dernières années : « il y a un petit risque qu’un chat reçoive le virus de la grippe aviaire d’un oiseau, il y a également un petit risque que vous le receviez de votre chat. Un petit risque au sein d’un petit risque constitue un tout petit risque. »

6 – Des oiseaux de compagnie gardés à la maison ne présentent pas de risque puisqu’ils n’ont aucun contact avec des oiseaux infectés dans la nature. Pour les oiseaux conservés dans des cages en plein air (dans des jardins, etc.), il convient de prendre des mesures de précaution en les protégeant d’une éventuelle contamination par l’intermédiaire de fientes d’oiseaux sauvages.

7 – Il est conseillé aux possesseurs d’animaux de compagnie de continuer à vivre normalement avec leur animal tout en s’assurant qu’ils respectent les règles d’hygiène habituelles à tout moment.

Voilà, ceci a été transmis par une vétérinaire spécialiste du chat sur un forum spécialisé elevage, d'ou j'ai fait un copié-collé, je pense que c'est suffisament éloquent !

[jena]

hooooouuu quel courage moi pas ecrir tous ca maintenant on sera ou les diriges:::::

[jena]

yes ca c'est de la bombe:

[melany]

J'ai copié et enregistré une bonne fois pour toute, il est prêt à reservir; Merci :